Conditions inhumaines et quotidiennes, pour les transporteuses et transporteur de contrebande à la frontière de Beni Ansar.
Chaque jour ils transportent des charges de plus de 50 kilos sur leurs dos.
Ceux qui tombent à terre se font piétiner, en toute indifférence ou la loi du plus fort régné en maitre.Les reporters ont suivi une femme frêle et fragile tout au long du reportage et raconte son calvaire de tout les jours dans une histoire sans fin pour la modique somme ne dépassant pas 100 dirhams.
Somme qui lui permet juste de quoi acheter un peu de nourriture pour survivre, et ne peut en aucun cas acheter un joue ou autre chose que d’autres enfants aisés possèdent.
Combien de temps encore cette région du nord du Maroc va supporter cette différence par rapport aux autres région du royaume?
Combien de temps encore ces porteuses vont continuer à charger ces charges de plus de 50 kilos sur leurs dos dans ces conditions inhumaines?
Elles ne disposent ni de contrat de travail ni couvertures sociales.Qui va subvenir à leurs besoin, le jour ou elle ne pourront plus porter ces charges?
Les autorités de Melilla appellent le gouvernement marocain à trouver une solutions pour que ces esclaves du monde moderne.