Le médecin, le cheikh et 60 prostituées dans un palais à Casablanca

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Médecin français des grandes stars, Philippe Siou a rencontré un cheikh saoudien dans son palace de Casablanca pour un check-up. Il raconte.

Invité de l’émission « Salut les terriens » de samedi dernier, Philippe Siou est médecin, praticien à l’hôpital américain de Neuilly depuis 1984. Né à Paris le 26 janvier 1952, il est auteur d’un récent ouvrage sur les caprices des patients riches, de Sharon Stone à Michael Jackson.

Il raconte comment un jour, on l’appelle depuis Casablanca pour venir au chevet d’un prince saoudien qui, « à lui tout seul, était une encyclopédie des pathologies du quatrième âge », mais « avec une capacité vitale considérable ».  « Il était tellement bien soigné qu’il pouvait associer plusieurs maladies et continuer de vivre très longtemps », témoigne le médecin.

Pour ce qui est des raisons de la présence de son richissime client à Casablanca, le Dr Siou confie qu’après le check-up, un dîner dansant a été organisé. Autour du cheikh, plusieurs filles, « plus ou moins majeures » y prenaient part. Le secrétaire du cheikh invita alors le médecin à « se servir ». « Ce sont les règles de l’hospitalité et il faut les respecter », ironise-t-il. À 3 heures du matin, les invités du cheikh arrivent. Particularité: ils ont tous plus de 70 ans.

Tous les invités ont ensuite été entraînés dans une sorte de salle des fêtes, meublée tables basses et divans. Philippe Siou se rappelle ensuite d’avoir vu 60 filles entrer d’un seul coup, dansant de façon lascive sur de la musique orientale, et accompagnées d’un nain. « Dès que votre choix est fait, c’est le nain qui va vous la chercher ».

Le médecin ne montrant pas d’intérêt particulier pour les filles, le cheikh aurait exprimé sa déception. « Je me suis entretenu avec deux d’entre elles, mais nos discussions n’ont pas dépassé l’échange sur l’encombrement de Casablanca et la météo », dit-il. Il confie également avoir « offert » les filles au secrétaire du cheikh en quittant la fete, un privilège auquel ce dernier n’avait généralement pas droit.

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