À Londres, une affiche écrite en hébreu et en anglais invite explicitement les femmes à ne pas emprunter le même trottoir que les hommes…
Imaginez un quartier du centre de Londres où un groupe de musulmans représentant une partie significative de la communauté locale collerait une affiche en pleine rue invitant les passantes à marcher d’un seul et même côté de la rue. Une affiche où l’on pourrait lire en arabe et en anglais : « Femmes, veuillez s’il vous plaît marcher uniquement de ce côté de la rue ».
Selon vous, avec quel écho les médias accueilleraient-ils cette affiche ? Verrions-nous des articles parlant de musulmans qui essaieraient d’imposer la sharia dans les rues de Londres ? Des commentateurs se laisseraient-ils aller à de longs monologues sur les dangers présumés de l’islam en tant que religion « extrémiste et intolérante » ? Ne verrions-nous pas nos journaux et politiciens appeler les leaders musulmans à dénoncer des pratiques aussi primitives ?
Par expérience, nous connaissons tous la réponse.
Alors comment peut-on expliquer le silence presque absolu concernant ce qui s’est passé la semaine dernière dans le quartier de Hackney, à Londres, où au lieu d’extrémistes musulmans, il s’agissait d’extrémistes juifs ? L’organisation Shomrim a placé cette affiche dans le cadre de la préparation de la procession de la Torah à Stamford Hill. Les affiches ont été retirées après des plaintes des habitants.
Mais comme l’indique le site internet Redress, la réaction des représentants de l’État a été décidément très discrète. Une recherche en ligne n’a donné pour résultats que quelques relais de cet épisode pourtant intéressant (et encore, des sites marginaux) dans les médias locaux londoniens, ainsi qu’un article modéré dans le quotidien national The Independent. Et un porte-parole de la police s’est pour sa part déclaré simplement inquiet quant aux « possibles mauvaises interprétations » de ces affiches, sans expliquer en quoi ces affiches pourraient être mal interprétées.
Il a par ailleurs ajouté que l’organisation Shomrim « a accepté que l’an prochain, ces affiches soient rédigées uniquement en hébreu et soient enlevées plus rapidement après l’événement ».
Comme le remarque le site Redress :
En d’autres termes, tant que les misogynes juifs restreignent leur affiche haineuse à un public de femmes juives qui savent lire l’hébreu, et le font de façon assez rapide pour que personne n’ait le temps de se poser la question « Pourquoi permet-on une affiche pareille dans les rues d’une ville britannique ? », alors tout va bien.
Il serait bon de garder à l’esprit cette histoire la prochaine fois que vous lirez une information terrifiante concernant l’islam dans les médias occidentaux de masse. Histoire de considérer les mesures appliquées à la communauté musulmane, et de les comparer aux autres communautés religieuses. Et si une incohérence est frappante, quelle en est la cause ? Pourquoi les rédacteurs de journaux jouent-ils régulièrement la carte de la menace musulmane, mais sont muets lorsqu’il s’agit d’une menace juive, chrétienne, hindou ou Sikh ?
Note de la rédaction :
Ce fait divers n’est qu’un exemple des nombreux symptômes types du deux poids deux mesures affiché généralement par les gouvernements frappés de sionistrose, une maladie héréditaire qui provoquerait le cancer du colon.
Récemment découverte par des chercheurs issus de la Résistance, cette maladie semble être présente en Grande-Bretagne depuis des siècles. En effet, ce pays constitue un énorme foyer d’infection qui semble émaner de la famille Rosthchild, et ce depuis des temps immémoriaux.
La sionistrose se caractérise évidemment par d’autres symptômes, comme l’incapacité à appréhender la situation palestinienne ou encore l’irrépressible envie de pleurnicher et de sortir son porte-monnaie à l’évocation du drame des drames qui a coûté la vies à 6 millions d’innocents.
À bien y regarder, notre pays est également atteint de ce mal séculaire. En effet, nous retrouvons malheureusement certains de ces symptômes, avec un pic durant l’été, notamment l’été 2014.
Ainsi, nous avons pu assister à l’interdiction de manifestations pro-palestiniennes face à des rassemblements en soutien aux soldats en couches culottes de Tsahal, qui elles, étaient tout à fait autorisées. Ou encore un grand nombre de personnalités politiques qui tout au long de l’été, parce que contaminées, n’ont pas pu appréhender la situation et la violence des combats qui avaient eu lieu à Gaza, malgré le grand nombre de civils qui y ont été assassinés.
Nous espérons que l’OMS, l’ONU, le CSLC (Cul Sur La Commode) et d’autres associations d’envergure impliquées dans la défense des droits de l’Homme lanceront une vaste opération de sensibilisation à ce mal qui ne cesse de ronger l’humanité toute entière.