Un citoyen d’Iaazzanene menacé de mort par un gang a la solde du député roi de Bouyafar

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Le député roi de Bouyafar, Mohamed Abarchane aenvoye un gang qui a menacé un citoyen d’Iaazzanene de mort.

Le citoyen s’est plaint d’un groupe de gangs inconnu de vouloir le liquider physiquement pour des raisons inconnues .. Le plaignant a dit dans une déclaration vidéo qu’il accusé le député connu Aberkane Mohammed,de l’avoir menacer de lui envoyé une bande a fin d’essayer de le tuer.
L’homme habitant Baju a adresse une plainte à Sa Majesté le Roi Mohammed VI afin d’intervenir pour remédier au problème, que le parlementaire roi de Bouyafar,  qui use par la force dans la région pour piller les terres des pauvres gens.
Le citoyen dit que le député roi de Bouyafar, après avoir vole les terres de la famille Ben Lahcen et des autres familles, s’est glanée de la forêt dans la région est très grandes étendues de terres qui les ajoute à sa propriété illégalement, et a ajouté qu’il a pratiqué la tyrannie, en toute légalité!

http://youtu.be/CdkSbwBBYm4


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1 COMMENTAIRE

  1. Maroc : quelle volonté de lutter contre la corruption ?

    L’ICPC (Instance Centrale de la Prévention contre la Corruption) crée en 2007 sera bientôt remplacée par l’INPPLC (Instance nationale de probité, de prévention et de lutte contre la corruption). Cette nouvelle instance devrait jouir de plus de transparence et accéder plus facilement aux informations que les institutions marocaines seraient susceptibles de délivrer. Elle devrait également tirer les leçons de l’expérience acquise par la structure précédente, afin de lutter avec une efficacité plus grande contre la corruption.

    Cette dernière ne cesse en effet de toucher l’ensemble des domaines d’activités présents dans le pays. Le secteur public, la police et la justice demeurent toutefois ses principales victimes. Ce sont même les principaux foyers de la corruption et du clientélisme au Maroc ! Ils présentent des taux de 3,5/5 pour les deux premiers secteurs et 3,3/5 pour le dernier selon les conclusions de la dernière enquête de 2013 menée par l’ONG Transparency International (TI) concernant l’indice de perception de la corruption . Ces chiffres catastrophiques relèguent le Maroc au quatre-vingt-dix-septième rang de l’échelle internationale des pays où la corruption sévit. Elle en compte, rappellons-le, 177. C’est une régression par rapport aux trois années précédentes. Cela signifie surtout que la corruption et le clientélisme causent encore de grands dommages.

    Ces trois domaines cristallisent les plaintes d’une grande partie de la population. Ni l’entrée en vigueur de la nouvelle Constitution à partir de 2011-sa mise en œuvre est lente-ni le lancement de programmes de sensibilisation par le biais des médias (la télévision et la presse écrite en particulier) mettant en scène des cas exemplaires de corruption afin de prévenir et lutter contre celle-ci n’empêchent malheureusement pas certains fonctionnaires en manque d’éthique et de capacité à appliquer une bonne gouvernance d’être responsables d’une manière plus ou moins directe du développement de ce fléau. Absence de contrôle par les organismes, abus de pouvoir, procédures ignorées … ce sont là des faits qui mettent en évidence un système affaibli qui développe des inégalités et qui suscite un sentiment d’injustice. Il faut rappeler que le Maroc souffre profondément de cette hémorragie sociale qui ne cesse de faire des dégâts chez les citoyens ordinaires.

    La lutte contre la corruption était l’un des thèmes les plus importants de la compagne électorale d’Abdelidah Benkirane (PJD), l’actuel chef du gouvernement. Souvenons-nous que ce dernier avait envisagé à partir de la fin de l’année 2012 d’adopter une stratégie nationale de lutte contre la corruption (SNLC), avec des objectifs bien définis. Qu’en est-il aujourd’hui ?

    La prochaine mise en place du nouvel organisme, une plus grande transparence contraignant à rendre compte plus souvent, le développement d’une éthique de plus en plus rigoureuse … ce sont là des éléments parmi d’autres qui pourront faire évoluer les choses et contribuer à une réelle volonté de prévention et de lutte contre la corruption. Nous attendons le rapport à venir sur la situation au cours de l’année 2014 !

    http://www.lemag.ma/Maroc%C2%A0-quelle-volonte-de-lutter-contre-la-corruption%C2%A0_a87046.html

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