Cela semble devenir un nouveau mode de protestation. Les quatre membres d’une famille ont organisé, le 11 avril, un sit-in devant le siège de la préfecture avec des pancartes sur lesquelles ils ont écrit « Famille à vendre ».
Ils voulaient protester contre l’arrestation du père de famille, un marchand ambulant qui a eu une prise de bec avec des mokhaznis. L’homme, accusé d’outrage à fonctionnaire public, a finalement été relâché. Son procès a été fixé au 15 mai prochain.